Caresse Salies – BEC
2 – 2
Mi-temps : 0 – 1. Spectateurs : Une bonne centaine
Buts : Pour le BEC : Cyriaque Otta (25e, 68e). Pour Caresse : 82e et 94e
Pas d’arbitres de touche désignés
1- Maxime Verdon
2- T. Dajour 5 – B. Jouandet 4 – P.
Morisse 3 – L. Chabaud
6 – J. Izquierdo (cap)
7 – E. Allain (Vissou, 65e)
11 – C. Otta
8 - N. Mestre
(J.P Chevallier, 60e)
10 – S. Lanave
9 – A. Castan
Sur le banc : E. Becquet dit le prez
A la touche : Amhed Bentaleb
A l’unanimité, Laurent Chabaud
Résumé, par Eric :
L’avant-match. Le petit voyage des Bécistes s’est plutôt bien passé vers cette
belle station thermale qu’est Salies de Béarn. Amhed Bentaleb, éducateur des
benjamins, a eu la gentillesse de remplacer au pied levé le vice-président
Stéphane Claroux, cloué au lit. Il prenait le volant d’un des deux minibus, le
second drivé par le « prez ».
La petite équipée est arrivée aux alentours de 13 h 45 au
stade municipal de Salies, enceinte dotée d’une très belle tribune et qui sera d’ailleurs
assez bien remplie lors de la rencontre.
Le match. Après une annonce sympathique du nom des joueurs au micro, les
Bécistes ont du faire face à un engagement très physique des locaux. Mais les
« petits » rouges, moins gaillards, ont réussi à repousser l’orage.
Et d’un maitre tir atteignant la lucarne, Cyriaque, à 25 mètres, excentré au
coin de la surface de réparation, permettait aux bécistes de prendre l’avantage
avant la fin de la première demi-heure. Les locaux avaient bénéficié de deux
actions chaudes dans la surface transformées en cafouillages, les Rouges de deux
face-à-face de Toto Castan repoussés par le gardien.
Moins en verve en seconde période, les joueurs de l’entente
Caresse/Salies vont céder sur un second but de l’entraîneur joueur Cyriaque
Otta (68e). Un joli centre de Toto, bien repris du plat du pied
(0-2, 68e). Cyriaque sortait en fin de match sous les
applaudissements du public béarnais. L’ « affaire » semble alors
dans le sac. Les Bécistes avaient même une balle de 3 à 0 sur un contre à 3
contre 1.
Mais, hélas, une mauvaise interprétation d’une trajectoire
du ballon par Laurent Chabaud, pourtant impeccable durant 80 minutes, donnait
là à un attaquant adverse l’opportunité d’une frappe de 35 mètres, qui lobait le
gardien Max (1-2, 82e). Une déferlante béarnaise poussait alors devant
le but bordelais. Et à la 94e, sur un coup-franc concédé encore par
ce pauvre « lolo », - qui se fera charrié durant tout le retour dans
le bus - permettait aux locaux d’arracher le match nul. L’arbitre sifflait la
fin du match sur le coup d’envoi en suivant…
Un bon nul, mais une vraie bonne déception d’être passé si près d’un bon coup.
L'après-match. Un retour jovial dans le bus. Un petit détour par Dax. Les landais n'avaient pas oublié l'apéro.
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